L'ère du Dragon ~Dragon Age RPG~
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L'ère du Dragon ~Dragon Age RPG~


 
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  La furie est arrivé, Kaîjie Averros la flamme brûlante[terminer]

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2 participants
AuteurMessage
Kaîjie Averros

Kaîjie Averros


Messages : 648
Date d'inscription : 01/06/2014
Age : 30
Localisation : Dans un océan de feu ♥

Feuille de personnage
Argent: 15 pièces d'or
Classe d\'arme:

 La furie est arrivé, Kaîjie Averros la flamme brûlante[terminer] Empty
MessageSujet: La furie est arrivé, Kaîjie Averros la flamme brûlante[terminer]    La furie est arrivé, Kaîjie Averros la flamme brûlante[terminer] Icon_minitimeSam 5 Juil - 22:54

Kaîjie Averros


Fiche du personnage

   

   

 
GÉNÉRALITÉ:
SURNOM : «Kaîjie La Féroce» Mais pour votre sécurité ne m’appeler pas comme cela.

ESPÈCE : Mi-Elfe, Mi-Humaine

AGE : 18 ans

ORIENTATION SEXUELLE: Hétérosexuelle

ORIGINAIRE DE: Tévinter

GRADE: Altus, apostat à Ferelden

MÉTIER:Aucun

CLASSE: Mage

 


 
feat : Cette image n’est pas de ma création. Tout droit sur cette image vont pour l’artiste. Vous pouvez retrouvé ses œuvres juste ici
 

   
Mentale/Physique/Classe d'arme


~PERSONNALITÉ~

Comment pourrait-on décrire Kaîjie. Elle a une apparence calme et douce, une jeune femme pleine de joie et de sérénité. Mais ce n'est qu'une illusion! Elle est une vraie tête de mule, qui se fâche rapidement pour rien! Elle n'a pas honte de dire ce qu'elle pense des gens, même si cela pourrait les rendre triste ou même en colère. C'est la principale raison qu'elle a obtenue son surnom « Kaîjie La Féroce» parmi les nobles de Tévinter. Le simple fait de lui dire c'est trois petits mots, là mette en colère aussitôt. Mais soyez rassuré, jeune gens. Kaîjie a des phase de grande gentillesse et qu'elle démontre un autre aspect de sa personnalité. Surtout quand elle apprécie énormément la personne avec qui qu'elle est. Il faut d'abord quelle apprenne à connaître quelqu'un avant même de lui démontrer les nombreux aspects de sa personnalité. Ce qui risque d'être un chemin plein d'embûche pour les gens qui veuillent mieux la connaître. Quoi de bon pour mettre de l'action! Vous ne trouvez pas?
Pourquoi a-t-elle se comportement, me demanderiez vous? C’est à cause de son enfance qu’elle est devenue ce qu’elle est. La grande majorité des nobles de Tévinter et une partie de la population de la ville n’aimait guère sa famille, y compris elle-même. Comment rester au cœur tendre quand personne ne vous donne de la gentillesse. Qui vous insulte presque tous les jours. Pauvre enfant, qui peut lui en vouloir sachant cela? Certes, elle recevait beaucoup de chaleurs parmi les domestiques elfes et les autres domestiques. (N’oublie ont pas ses parents, hein!) C’est une raison pourquoi, Kaîjie démontre une gentillesse envers les elfes, car ils lui rappellent sa ville  natale.  Mais sachez jeune gens que Kaîjie a un défaut, elle a de la misère à cerner les sentiments des gens. Si quelqu'un souffre pour une raison qu’elle classifie de stupide, elle démontra aucune sympathie envers la personne. Elle se demandera même pourquoi cette personne souffre. Mais rien ne dit qu’elle restera de glace! Elle n’est pas une méchante personne pour autant. Elle va simplement rester perplexe et poser des questions stupides aux gens.

~PHYSIQUE~

Au premier regard, on pourrait décrire Kaîjie comme une magnifique flamme. Sûrement à cause de sa magnifique chevelure rouge, qui au vent peut rappelé facilement le crépuscule d'un soleil couchant. De ses yeux ambres, qui rappelle cette chaleureuse couleur du soleil d'été. De sa peau basané, qui est parfaitement bronzé, par les nombreuses chaleurs passer. Quand on la regarde de plus près, on peut facilement tomber sous le charme de ses nombreux traits. Son visage en forme ovale, de ses yeux en forme d'amande qui démontrent tous ses sentiments. Mais plus qu'on porte attention à ses yeux, on y découvre une fine lumière de haine. Quand on porte un regard à ses lèvres, on y voit une magnifique teinte rosé. Au toucher, la peau de Kaîjie est d'une douceur qui rappelle presque celle du satin. Il ne faut pas oublier aussi ses magnifiques oreilles pointu qui démontre son côté elfique.
Kaîjie adore porter un décolleter de couleur doré, avec un tissu au couleur chaude qui l'aide à se rappeler la chaleur perdu.

~CLASSE D'ARME~

CLASSE: Mage

ÉCOLE DE MAGIE
1) Élémentaire
2) Entropie

ARME :  Bâton magique et une petite dague

TALENT FAMILLIALE: Immunité au feu

   
HISTOIRE


Il y a très longtemps de cela, écrit dans un manuscrit de mon premier ancêtre, raconte notre histoire. Mon ancêtre avait été désigné pour faire un sacrifice avec cinq autres personnes. Ils avaient tous été jugé coupable de cinq crimes impardonnables. Meurtre, viol, vol, tentative d'assassinat sur un noble, etc. Ils n'avaient pas essayé de chercher les vrais coupables, que le peuple les condamnèrent tous à mort part un sacrifice pour l’ancien dieu Toth. Ils devaient tous brûler vif. Quand le feu fut pris dans les brises et les branches, mon ancêtre regarda les autres brûlés sauf lui. Les flammes dansèrent sur sa peau, seulement ses vêtements se détachaient en lambeaux, le mettant nu devant tout le monde.
Quand le spectacle fut terminé, le peuple virent que l'ancien dieu ne voulait pas sa mort. Après quelques mois plus tard, ils découvrirent que celui qu'ils avaient condamné, avait un don avec la magie. Des nobles décidèrent donc de le prendre en charge. Petit à petit, il monta dans la société avant de rencontrer la femme de sa vie. Une humaine qui le respectait comme n'importe quel être humain. Elle était la première qui ne le jugeait pas sur le fait qu'il soit un elfe. Il vit en elle la pureté et la gentillesse incarnée. Personne n'eut le courage de s'en imposer, malgré leur réticence.

Je caressai du bout de mes doigts ce vieux parchemin, quand mon frère m’extirpa de mes pensées. Il jouait avec une mèche de mes longs cheveux et la roula autour de son doigt. On était très proche lui et moi, les meilleurs amis du monde. Des fois, on n’avait même pas besoin de dire quelque chose qu’on se comprenait. C’était simple et j’adorais cela. Si cette relation aurait pu se transmettre entre moi et ma grande sœur, ça aurait été le bonheur dans la maison. Mais hélas, ma sœur était une arrogante de première, superficielle et au immense talent. Un soupir s’échappa de ma bouche, ce qui me gratifia un visage inquiet de mon frère, qui était plus vieux que moi de deux ans.

- Ne t’inquiète pas, ce n’est rien. Dis-je avec un petit sourire.

- Qu’est-ce qui ne vas pas ma sœur?

- Hum, je pensais que la maison aurait été plus agréable si sœur aurait été comme nous.

- Mais dis moi Kaîjie, ne trouves-tu pas la maison manquerait son piquant si Isabella aurait été comme nous?

- Certes, tu as bien raison, mais cela n’empêche pas que son comportement m’énerve. Elle pourrait au moins dire bonjour le matin, au lieu de passer devant nous et de faire comme si on n’existait pas.

- Pour ne pas te déplaire, père a prévu que vous alliez vous entraîner ensemble elle et toi. C’est là raison pourquoi je suis venu te chercher.

- Achève moi, si tu as un cœur qui ait pitié de ta petite sœur.

Je vis un sourire se dessiner sur ses lèvres. Le problème avec ma sœur est: qu’elle ne se fait aucun souci des brûlures qu’elle cause sur les humains avec qui elle s’entraîne. Elle ne laisse aucune chance pour les débutants et elle ne laisse personne gagner à part elle-même. La défaite pour elle, c’est une chose dont elle n’est pas capable d’accepter. Comment une grande sœur de quatre ans plus vieille peut perdre contre sa petite sœur? Une honte dont elle ne peut malheureusement pas accepté. Je la comprends, moi aussi, si j’avais été à sa place, je ne m’aurai pas laissé gagner. Surtout qu’elle est très douée, je mentirais si je disais que j’étais plus forte qu’elle. Elle est une vraie machine de guerre.  De plus, elle est une très belle femme, mille fois plus jolie que moi. Son apparence en fait rêver plus d’un de ceux qui nous porte sur leur cœur. En dehors de de la maison où que je vis, la majorité des nobles nous déteste. Ils n’acceptent pas le fait qu’on a du sang d’Elfe dans nos veines. (Vue que les Elfes sont fait pour être des esclaves dans la ville de Tévinter) Selon ma propre opinion, est tout à fait inacceptable. C’est donc pour cela, que la plupart de nos domestiques sont des elfes. Je préfère mille fois leur présence que celle de ces nobles qui ont mauvais caractère! Je sentis soudainement plusieurs doigts caressés mon cuir chevelu. Mon frère replaça avec gentillesse chaque mèche qui savait échapper de ma «sublime» coiffure. Je me levai d’un bon, quand mon frère eut enfin fini de replacer mes cheveux.

- Aidan, dit moi, pourquoi aimes-tu tant jouer dans mes cheveux?

- Je ne sais pas, j’aime ça et c’est tout. Pourquoi cette question subitement?

- Pour savoir, bon père doit m’attendre pour l’entraînement. Je vais y aller sur le champs. Souhaite moi bonne chance.

Je quittai la pièce sans entendre une réponse quelconque. Je savais au fond de moi qu’il fallait que je m’entraîne avec la plus douée de la maison. Sachant que mère serait là pour me soigner me rassurait au fond du cœur. Mais dans mon être entier, une sensation indésirable s’était installé depuis quelque temps maintenant. Je ne savais pas d’où cela pouvait venir. Mais je préférais ne pas y penser. Enfin arrivée dans la salle d’entraînement, je vis mon père et ma sœur qui discutaient sur la causeuse.  Ils me regardèrent un bref moment pour ensuite voir mon père se lever et claquer ses mains joyeusement. Je détestais le fait qui claque ses mains, cela signifiait toujours un entraînement ardu et intensif. Je soupirai bruyamment et avança d’un pas lourd.

- Bon aujourd’hui, c’est un entraînement qui va t’aider Kaîjie à mieux maîtriser tes autres éléments. Tu ne pourras pas toujours utiliser le feu contre tout le monde.

Je ne dis pas un mot, un peu frustrée par le fait que mon père eut référé l’accident d’hier. Mais ce n’était pas de ma faute, une jeune noble avait osé m’appeler « Kaîjie La Féroce» et ça me met toujours de mauvaise humeur. Je n’avais que brûlé le bout de sa robe verte pomme. Une couleur que je trouve vraiment affreuse, surtout avec son teint blanc. Je me plaçai devant ma sœur et nous commençâmes notre entraînement.
Comme je l’avais gentiment prévu, ma sœur n’eut aucune pitié pour moi. J’eus au finale de notre entraînement que six blessures mineures. J’étais soulagé que ma mère était une spécialiste dans l’herboriste et qu’elle soit une grande guérisseuse. Quand je vis ma sœur passée devant moi, sans me regarder et rien me dire. Je me fâcha aussitôt, je lui courus après dans le corridor pour lui dire ce que je pensais de cette situation.

- C’est quoi ton problème?! Criai-je quand je fus enfin derrière elle. Tu ne te sens pas capable de me saluer ou me dire un petit mot après notre entraînement?

Elle ne dit rien, seulement ses doigts roulèrent une mèche de ses cheveux décoiffés.  Elle avait l’air mal à l’aise et elle évitait soigneusement mon regard. Je sentis furieusement les larmes me monter aux yeux. Pourquoi était-elle comme cela? Avais-je fais quelque chose pour qu’elle me déteste.

- Pourquoi me détestes-tu autant?! Qu’est-ce que je t’ai fais pour ne pas mérité ton amour?! Si tu ne me dis rien, comment veux-tu que je change?! Criai-je une fois de plus, la gorge noué et la voix briser par un grand sanglot.

- Je...Je ne te détestes pas. Finit-elle enfin à me dire.

- Alors dis moi ce que je fais de travers! Je veux être dans la possibilité de me sentir bien avec toi!

Elle avança sans me regarder et tourna à gauche pour se diriger vers le premier étage de la maison. Une main chaude se déposa sur mon épaule. C’était mon père, qui malgré moi, avait tout entendu de cette faible discussion. Sans entendre une seconde, je me glissai dans ses bras pour ensuite pleurer à chaude larme. Il me caressa la tête et me leva le menton.

- Veux-tu que je te raconte pourquoi notre emblème est le phénix?

- Oui, j’aimerais bien.

- Notre ancêtre Anaël, comme tu le sais, n’a jamais été blessé par le feu. C’est de lui que notre don familial s’est transmis, mais aussi son apparence. Ses cheveux rouges, ses yeux ambres et sa peau basané, beaucoup de gens le décrivirent comme un phénix.

Mon père eut seulement le temps de me résumer l’histoire de mon ancêtre, qu’un serviteur vient nous déranger. Quelqu’un voulait parler à mon père pour un sujet urgent. Je m’éloigna le plus vite possible et me dirigea vers le premier étage. Au seuil des escaliers, j’entrevis une discussion sérieuse entre ma mère et ma sœur. Ce qui me questionna d’un coup. Subitement mon pied fit grincé le plancher, ce qui termina mon espionnage. Elles me regardèrent étrangement avant de s’éloigner l’une de l’autre. Je détestais tellement ça quand elles me faisaient ce coup là! Pourquoi plancher as-tu grincé?! J’aurais peut-être pu enfin savoir pourquoi Isabella me détestait. Même si elle m’avait dit le contraire un peu plus tôt, son attitude me disait tout le contraire. Mais pour ma mère, ce n’était pas dans son habitude de faire un coup comme celui-là. J’avais remarqué depuis deux semaines déjà, qu’elles avaient souvent des discussions de ce genre. Quand on les surprenait, elles partaient chacun de leur bord et ne regardèrent personne dans les yeux. Comme si elles manigançaient quelque chose. Mais quoi, je ne saurai le dire... Était-ce à cause de ça, que l’inquiétude perturbait mes nuits? Perturbée, je regagnai ma chambre. C’était toujours ma tactique pour pouvoir sortir en douce de chez moi. J’ouvris timidement la fenêtre de ma chambre pour ensuite regarder autour de moi s’il n’y avait personne.
Je me glissai ensuite sur la plus gros branche de l’arbre qui se trouvait devant ma fenêtre. Heureusement que je n’avais pas peur des hauteurs. En réalité, j’adore les hauteurs. On peut voir plus en détail le monde qui nous entoure, mais aussi s’il y a des gens qui vient en notre direction. Ennemie comme alliée, on peut tous les voir de haut. Une vue d’ensemble, pour être plus clair. Je déposai mon pied sur la branche voisine de celle où je me trouvais et m’assis paisiblement. Mon regard se posa subitement sur un templier. J’avais en leur égard une curiosité insatiable. Comme le fait qu’à Tévinter, les templiers n’ont aucun pouvoir. Ce ne sont que des soldats comme les autres. Ils seraient tellement faciles à vaincre s’ils essayaient de nous soumettre. J’admets que leur uniforme me fait craquer. Leurs armures étaient tellement belles. J’aimerais bien ça, si l’un d’entre eux me prenne dans leur bras avec force. Me dise des mots doux, mais ce sont des idiots ici et la majorité ne m’aime pas. À cause de ma petite réputation, celle bien entendu d’être une folle, au caractère peu aimable et j’en passe. Mais aussi, ce qui m’intéressait c’était leur comportement. La manière dont il place une main derrière leur nuque quand ils sont embarrassés. De leur mouvement de pied quand il parle à la personne auquel ils ont un penchant amoureux. Tous ces détails-là me fascinait, sûrement à cause qu’aucun homme ne les avaient démontré devant moi. Je parle rarement aux hommes, la plupart du temps c’est avec mon frère que je parle. Ce qui me suffit amplement! Subitement, un détail dans mon champs de vision me fit arrêter mon espionnage. Ma sœur marchait rapidement, l’air nerveux, vers un petit immeuble. Elle avait dans ses bras beaucoup de parchemins qui venait de chez nous. Je voulus sauter de ma branche, mais la peur de me briser les jambes me fit reculer. Je descendis d’une vitesse folle l’arbre et courut presque après ma sœur. Qu’est-ce qu’elle pouvait manigancer? Avait-elle besoin d’information que mon père était incapable de lui donner. Je me rappelle que ma sœur et ma mère avaient parlé de l’Immatériel, dans l’une de leur conversation. Peut-être avait-elle peur d’y aller sans être préparé? Je n’y avais jamais mis «les pieds» dans l’Immatériel, mais j’aurais sûrement peur moi aussi si j’y étais allée. Tout d’un coup, une conversation entre deux jeunes nobles mages me fit ralentir la cadence.

- As-tu vu Aidan aujourd'hui? Dommage qu’il est du sang d’elfe en lui. Du vrai gaspillage de beauté! Si seulement il aurait pu être un humain!

- Comment ça du gaspillage? Mon frère est parfait! Il n’a rien qui puisse déplaire les gens!

- Regarde, Mélisaël, c’est Kaîjie la Féroce! Attention elle va nous brûler. Dit l’autre femme avec arrogance et provocation.

- Oh non! J’ai peur! Répondit Mélisaël, du même ton.

- Comment m’avez-vous appelé?!

Je sentais la colère monter en moi. Mais je ne devais pas brûler leur robe. Sinon je serais encore punie pour avoir manqué de jugement. Je décidai donc de respirer et d’expirer. Jusqu'à temps qu’elles brisent le peu de patience que j’avais en ma possession.

- Ton frère est du gaspillage et toi tu es une vraie ordure! Vous n’auriez pas du être du même sang. Si ton frère avait été humain je l’aurais sûrement approché. Mais toi, tu aurais du être une elfe de sang pur, comme cela je t’aurais eu comme esclave!

Je ne dis pas un mot et un sourire s’échappa de mes lèvres. Derrière elle, il y avait une belle flaque d’eau. En cinq secondes, Mélisaël fut pousser dedans. Je fus heureuse de la voir tomber sur son bassin.  Soudainement une odeur de brûlé se fit sentir et mon regard se perdit sur le bout de ma robe qui était en train de brûler. Un sourire amusé se dessina sur mes lèvres. Je n’étais pas fâchée, car je n’avais jamais eu peur du feu. J’entendis Mélisaël rire aux éclats avec Élisa.

- Tu n’es pas là seule qui sait faire ce coup là.

- Hum, peut-être mais je suis la seule avec ma famille à faire ceci.

Je pris ma main et éteins le feu, qui avait par pur chance, seulement endommagé le bas de ma robe. Leur rire s’effaça pour laisser place à un regard dédaigneux. La jeune noble qui était encore debout aida son amie à se relever et n’osa plus plonger leur regard dans le mien. Elles avaient tout ce qu’elles méritaient. Elles n’avaient pas le droit de parler contre mon frère. Ces humains, je les détestais de plus en plus que je les côtoyais. Certes il y en avait que j’appréciais. Je n’étais pas la plus populaire parmi les garçons, mais au moins j’avais deux amies.
Arrivée dans ma chambre, je remarquai que mon frère m’y attendait. Couché sur mon lit, les bras croisés et un regard un peu dur quand il vit ma robe. Il se leva presque d’un bond quand je finis de mettre les pieds sur le sol de ma chambre.

- Kaîjie, que s’est-il passé à la fin?

- Ce n’est rien, des filles qui t’ont insulté! Je te jure, cette Mélisaël n’aura plus le courage de recommencer! Sérieusement, elles disaient que tu étais moins attirant à cause de ton côté elfique! Elles auraient voulu que je sois une elfe aussi pour que je sois leur esclave...

- Quoi?! Je n’ai rien contre le fait, qu’une jeune noble qui se croit désirable s’en prenne à moi, mais à dire qu’elle aurait voulu que tu sois une elfe pour que tu sois son esclave là je suis de très mauvaise humeur.

- Inquiète toi pas, je lui ai donné une bonne leçon. Mais dis moi, pourquoi es-tu venue me voir au juste?

- Père voulait te voir, mais il ne te trouvait pas, alors il m’a demandé de te trouver.

- Je vais y aller sur le champs alors.

Je sortis en même temps que mon frère de ma chambre et me dirigeai dans les appartements de mon père. Il avait son bureau au deuxième étage de la maison. Je saluai sur mon passage plusieurs domestiques avec un sourire chaleureux. Mais rien ne m’avait prédit ce que j’allais trouver dans son bureau. En quelques secondes, mon monde fut basculer. En quelques minutes, tout ce que j’avais vécu était réduit à néant. Les yeux grand ouvert, je fixai devant moi. Une boule dans ma gorge m’empêcha alors de crier. Les larmes roulaient sur mes joues et mes mains s’étaient dirigées vers ma bouche. Mon père gisait sur le plancher, les yeux vitreux. Il baignait dans son sang, la gorge tranchée et les mains coupées. Tout pour l’empêcher d’utiliser ses sorts. Tout pour l’empêcher de se protéger. On ne lui avait laissé aucune chance. Mon regard alla sur la fenêtre, une personne habillé tout en noir se trouvait là. Je ne pouvais rien voir, aucun détail. La personne avait soigneusement pris ses précautions. Je pris le bâton de mon père et lui jeta un sort de feu. Quand mon attaque fut dissipé, il n’y avait personne... Pourquoi cette personne avait pris la vie d’une personne innocente? Quand je regardai de nouveau mon père sur le sol, je pus enfin crier à plein poumon. En quelques secondes, des serviteurs et les membres de ma famille étaient dans la pièce. Je regardai mon frère dans les yeux. Les larmes se refusaient d’arrêter de couler. Je n’arrivais plus à me sentir bien. Mon cœur était si lourd, si plein de colère, de rage, d’un ramassis de sentiment que j’avais jamais ressenti auparavant. Un grand désespoir était apparu en moi.
Quelques jours plus tard, ma famille et moi firent à mon père ses derniers adieux dans le monde des vivants. Dans ce jour funeste, pour la première fois de ma vie, je ne pleurai pas des larmes de tristesse. Mes larmes étaient remplis de haine envers l’individu qui avait osé voler mon bonheur et celle des membres de ma famille.
Cette journée-là, je me fis la promesse, la personne qui avait détruit ma vie paisible, allait mourir dans d’atroces souffrances. J’allais partir de ma maison à la recherche de l’assassin de mon père.  Mon frère avait été nommé comme nouveau chef de la maison, ce qui ne fit pas le plaisir de ma grande sœur. Elle était l’aînée, mais mon père préférait voir un homme à la tête d’une maison, que d’une femme. Quand la nuit arriva, je sortis de mon lit déjà habiller et prit mes maigres affaires. Je n’oubliai pas de prendre de l’argent. Avant de quitter la maison, je laissai des lettres en dessous de chacun des oreillers des membres de ma famille. Maintenant, je ne pouvais plus regarder en arrière. Je devais regarder droit  devant, vers une nouvelle aventure remplie de péripétie.

   

 
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Opale Arqua

Opale Arqua


Messages : 16
Date d'inscription : 01/06/2014

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MessageSujet: Re: La furie est arrivé, Kaîjie Averros la flamme brûlante[terminer]    La furie est arrivé, Kaîjie Averros la flamme brûlante[terminer] Icon_minitimeDim 6 Juil - 20:15

Je te valide, tu fera les précisions sur ta famille dans les sang bleu Razz

Désoler d'avoir mis du temps à répondre

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